(262 mots) L'un des poèmes préférés de Yesenin est "Tu es mon Shagane, Shagane." Ceci est un élément clé des motifs persans.
Le thème du poème est assez typique de Yesenin. Le poète a pu combiner en une seule pièce les deux thèmes principaux de son travail, donc ce travail m'intéresse particulièrement. Parallèlement, l'auteur développe le motif de l'amour pour une femme et de l'amour pour la patrie. Peu importe à quel point le héros lyrique est attaché à sa bien-aimée, il ne peut jamais échanger des «étendues de Ryazan» contre Shiraz, quelle que soit sa beauté. Il raconte à la jeune fille la beauté de son pays natal, pour lui dans sa patrie même la lune est «cent fois plus grosse».
L'auteur montre un lien direct entre le héros lyrique et sa patrie. Et cette connexion n'est pas seulement spirituelle, mais en quelque sorte même physique. Le héros dit: "J'ai pris ces cheveux de seigle", ce qui montre qu'il est le vrai fils de sa terre natale.
Cette perception par Yesenin de sa patrie est très proche de moi et de mes vues sur la vie, probablement à cause de cela c'est ce poème qui est l'un de mes préférés.
Le héros lyrique est ravi de la beauté de la fille orientale, mais son cœur est toujours au nord, à côté d'un autre. Il a parlé à Shagane de sa terre natale, mais à la fin de l'ouvrage, il devient clair que la beauté orientale n'est qu'un auditeur, et mentalement le héros est lié à une autre femme - "là, au nord, la fille aussi". Et ici, le héros parle de la similitude des deux femmes, puis il devient clair pourquoi Shagane est devenu son auditeur. Le narrateur est fidèle à son bien-aimé, celui qui est resté dans le nord, dans sa patrie.
L'auteur dit que la fille «pense peut-être à moi» - ces mots complètent le poème. C'est cet espoir qui inspire le narrateur et maintient une sorte de connexion invisible avec la patrie.