(326 mots) Antoine de Saint-Exupéry a écrit que la simplicité est la vérité. Donc, dans les situations les plus simples, parfois toute la nature humaine se trouve. A. Tchekhov connaissait très bien cette caractéristique des personnages humains, et donc toutes ses histoires ont commencé avec de simples histoires de tous les jours. De même, son histoire préférée, «Nom de cheval», commence par la description d'un cas ordinaire: un propriétaire foncier, un général Buldeev à la retraite, avait mal aux dents.
Après avoir essayé toutes les méthodes de traitement, il a littéralement mis toute la famille sur les oreilles. Enfin, ils ont trouvé un moyen d'alléger les souffrances du chef de famille: le clerc lui conseille de se tourner vers un certain sorcier qui traite les gens avec des complots. Que faire, le pauvre général doit lui écrire un télégramme. Seulement ici, le greffier ne peut pas se souvenir du nom du lanceur de sorts. Il rappelle seulement que le nom est "une sorte de cheval". Quelle malchance! Pendant une journée entière, Buldeev est tourmenté par des conjectures et toutes sortes d'options. Le matin, le patient se rend et appelle le médecin: «Laissez-le vomir! ". Le guérisseur soulage rapidement le propriétaire foncier de la souffrance, la douleur diminue immédiatement et, comme ordonné, le greffier rappelle le nom de famille malheureux du guérisseur. "Avoine!" Il crie à haute voix, "Avoine!" Et peu importe la façon dont le comique Tchekhov décrivait le misérable Buldeev, qui était prêt à aller au charlatan, ne serait-ce que pour guérir une dent sans douleur, et le commis, qui a intrigué toute la cour du propriétaire pendant toute une journée, était plus susceptible de se moquer de lui-même. Combien de fois nous creusons-nous la cervelle sur des problèmes insignifiants tout en nous tourmentant nous-mêmes et les autres? Il est bon que Buldeev ait néanmoins pris la bonne décision, et nous devrions parfois suivre son exemple et ne pas perdre de temps à chercher son «nom de cheval», mais tout décider par lui-même et, plus important encore, à temps. Je pense que c'est le sens de l'histoire de Tchekhov. De plus, il encourage les gens à prendre des décisions intelligentes. À son avis, tout le monde devrait faire ses propres affaires: un médecin - pour guérir, un commis - pour prendre en compte et gérer l'économie, le fonctionnaire devrait être un fonctionnaire, et non aller chez les guérisseurs. Je suis d'accord avec l'auteur et je pense qu'un tel équilibre des pouvoirs est la clé de l'amélioration du public.
Ainsi, le contenu idéologique et thématique de ce travail est très proche de moi, donc je l'aime vraiment. Je crois que l'histoire «Nom de cheval» est un livre que tout le monde a besoin de lire, car il enseigne ce qui est vraiment important pour nous tous.